On the green, I dream

Le printemps est là,

Et il y a ces envies qui remontent à la surface.

Au rang N°1, celle de prendre du bon temps

De se prélasser

De sentir cette brise,

Et ce soleil,

Comme une caresse.

Alors dans ce parc près de chez moi,

Les beaux jours me permettent enfin d’aller.

Je peux m’allonger dans l’herbre,

Moelleuse,

Comme une héroine de ciné.

Elle ne sera ni humide, ni salissante,

Elle aura séché juste ce qu’il faut pour m’accueillir comme dans des bras ouverts.

Et puis je l’imagine gazon.

Je ferme les yeux, et sens le soleil à travers mes paupières.

Les images deviennent floues,

Je vois tout en vert depuis l’herbe depuis laquelle je me prélasse.

Je glisse mes lunettes de soleil sur mon nez.

J’enlève d’un coup de talon mes ballerines

Et peut faire admirer à tout le monde mon dernier vernis.

Je peux penser, rêver, m’évader.

Allez, c’est parti…

Je m’envole,

Là je suis dans les vertes prairies du moyen atlas,

Regardez ce troupeau de moutons,

Je m’imagine parmi eux.

Je lève les yeux aux ciel à Séville et à nouveau ce vert noyé de couleurs m’éblouit

En Sicile je me balade au milieu d’un jardins où les couleurs se mêlent aux senteurs

Là je suis au sommet d’un volcan,

Et j’ai pour cela traversé l’Océan!

Et contemple sa végétation verdoyante!

Et sa petite faune …

Mais déjà le soleil me pique les yeux…

Je les rouvre à regrets,

Et quitte ma douce Rêverie,

Toute de vert teintée,

Semblable aux couleurs qui m’entoure

…

Il faut rentrer

Déjà!

Ceci était ma Rêverie

Petite contribution au challenge nuancier Vert de mai de Libelul :

Ps : Petit retard pour la mise en ligne du concours pour la sortie de Woody Allen but come back tomorrow girls (& men) 😉

Et si les photos vous ont plu, un peu plus par là et là 🙂

See you tomorrow!